mardi

Participez !

Chers amis,
Ségolène Royal nous a proposé de débattre, de réfléchir et d’élaborer des propositions sur quatre grands thèmes dans le cadre de la campagne des présidentielles de 2007.
Cette phase d’écoute doit durer jusqu’à la fin de janvier 2007.
Dans ce cadre, les comités Désirs d’Avenir de Paris vous invitent au débat participatif sur le thème de “l’environnement et le co-développement”.
Débat autour d’Yves Cochet, ancien ministre de l’environnement, auteur de “Pétrole Apocalypse”.
Ce débat, de forme strictement participative, aura lieu :
Mercredi 29 novembre à 20h00
Au FIAP, 30 rue Cabanis – Paris 14
M° Glacière - M° ou RER Denfert Rochereau
Nous comptons sur votre présence, et plus encore sur votre PARTICIPATION à ces deux réunions.N’hésitez pas à inviter des amis, même s’ils ne sont pas militants ou impliqués dans la campagne, car Ségolène Royal nous demande aussi d’ouvrir nos réunions à l’ensemble des français.
En attendant, nous vous invitons à ouvrir le débat en échangeant sur ce site même, en laissant des commentaires, des idées, des questions ou des pistes de travail sur ce sujet: cliquez ici !

39 commentaires:

À 22 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Nous avons la chance de connaître un enchérissement du prix du pétrôle qui va se propager sur l'ensemble des matières premières. Comment utiliser et accompagner ce phénomène:
- pour encourager notre indépendance énergétique par la maîtrise des consommations et une production de proximité accessibles au plus grand nombre ?
- pour limiter les nuisances de transports à fort impact environnemental (avion, camion) tout en relocalisant une économie de production et de recylage ?
- pour revoir nos schémas de déplacement urbain et permettre un meilleur équilibre entre vie professionnelle, télétravail et vie privée ?
- pour propager un rapport équitable avec le sud (à la fois en cessant de piller leurs ressources énergétiques et de maintenir les économies sous tutelles mais également en encourageant l'initiative locale et le commerce vraiment équitable) ?
- pour remettre en cause notre mode de production agricole qui pompent les ressources naturelles et les subventions européennes à l'investissement et en profiter pour migrer vers une agriculture raisonnée non prédatrice des économies africaines et acceptable pour notre santé ?

Il me tarde de voir ce débat lancé.

Bien à vous,
Nicolas - http://www.technoscopie.info

 
À 22 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Certains pays voisins de la France ont levé des tabous en matière d'indépendance énergétique des ménages.

En Belgique, les nouvelles constructions intègrent dès leur conception un système de recueil des eaux pluviales. L'eau recueillie sert à l'arrosage des pelouses et jardins. Les gens réduisent leur facture d'eau.

Pourquoi ne pas rendre en France un tel dispositif obligatoire ? Certaines normes de construction existent déjà et doivent être appliquées.

 
À 22 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

le 21° siècle sera placé sous le signe du développement durable car notre modèle n'est pas transposable aux nouvelles nations émergentes
mais il ne faut pas se tromper

le débat est d'abord européen pour tout ce qui touche aux questions énergétiques (nous importons tous du pétrole) et aux questions agricoles (être auto suffisant est une prioriré impérieuse, qui aurait envie en effet de dépendre des états unis ou du brésil pour son alimentation)

cela signifie que nous, socialistes, devrons apporter des réponses plus justes et plus respectueuses de l'environnement à des questions très complexes car liées les unes aux autres - donc pas de raisonnement trop simples comme "l'agriculture prédatrice des cultures africaines" alors que ce continent comprend des zones où tout pousse et des déserts arides
alors également que le commerce des denrées agricoles est mondial et pas seulement sous l'égide des européens

notre défi sera également le co développement, cad apporter une aide ciblée aux pays du sud en repensant notre approche tant les fonds actuels sont souvent détournés par les gouvernements souvent corrompus

mais pas d'angélisme, l'afrique devient le centre d'une compétition avec la chine qui vient y faire son marché

donc environnement et co développement ne seront possibles qu'avec une nouvelle façon de penser l'écologie (halte aux tentations malthusiennes car nous avons besoin de croissance pour faire tourner notre économie et créer des emplois en consommant moins de ressources fossiles) à l'échelle micro locale et européenne et avec une vision stratégique du co développement (gagnant - gagnant)

le débat est ouvert

 
À 23 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

il faut économiser l'eau, pourquoi dans les immeubles en copropriété il n'y a qu'un compteur collectif ce qui déresponsabilise les résidents (surconsommation fuites....). Il faut l'unanimité en assemblée générale pour passer aux compteurs individuels ,pourquoi ne pas autoriser les propriétaires qui le souhaitent de passer à ces compteurs

 
À 23 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Pourquoi ne pas intégrer le Commerce équitable dans le co-développement. Le commerce équitable ne se préoccupe pour l'instant que des besoins de survie des artisants-agriculteurs du tiers-monde. C'est déjà énorme. Mais quid de la part de profits faits en Occident sur ces produits ? Ne peut-on pas créer en l'adaptant le principe du commerce équitable aux petits artisants-agriculteurs européens et développer ainsi un "marché" (échange) économique sain entre tous nos pays. Cette éventualité à fiscalité adaptée (le but n'étant plus l'enrichissement de l'individu mais une rémunération équitable et honnête de chaque intervenant)ne deviendrait-elle pas un facteur de croissance ?

 
À 23 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Cher Thomas,
pourquoi un blog à part pour ce débat ?
Cordialement

 
À 23 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L'essence, les voitures en consomment beaucoup. Ok, les producteurs peuvent améliorer et dépolluer. Ce n'est pas le conducteur qui est le "coupable" (et culpabilisé jusqu'à outrance) mais bel et bien le constructeur qui, lui, est encouragé par les états à produire pour la croissance, non ? Pourquoi une simple Twingo doit comprendre dans son coût d'élaboration et de fabrication de 20% à 30% (à vérifier) pour assurer la sécurité du véhicule de 130 km/h à environ 170 km/h ? C'est d'autant plus valable pour les autres véhicules plus puissants. Cette part que le client doit payer mais n'a pas le droit d'utiliser n'est-il pas une pure et simple escroquerie légale ? Avec le confort et la sécurité des véhicules actuels, les limitations de vitesse "légale" sont souvent facteur d'endormissement si ce n'est d'amoindrissement des réflexes. De plus, rouler à 70 km/h (90 moins 20) lors des pointes de pollution est absurde dans la mesure où rien n'impose de le faire à bas régime de son moteur, mais que cela oblige certains véhicules à rétrogader, et donc à polluer tout autant si ce n'est plus ! La vitesse est le propre de l'évolution de l'homme. Toute la société nous "stresse" pour être plus productifs, efficaces, rapides. Mais dès que l'on monte dans un véhicule, le stress est inverse. N'estce pas le contexte (adhérence, état de la route, connaissance et état-entretien du véhicule, densité de la circulation, possibilités de piétons ou animaux, visibilité, etc.) qui devrait déterminer cette vitesse légale, plus comme un indicateur majeur que comme un interdit (de plus) malheureusement souvent inapproprié ?

 
À 23 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Les services de l'eau ont été privatisés depuis longtemps. Les sociétés qui les ont rachetés ont fait des bénéfices gigantesques jusqu'à devenir des trusts financiers (aux scancales grandioses parfois). Aujourd'hui, les municipalités, régions, commnecent à "racheter" ces sociétés pour une gestion plus saine, une eau au goût buvable, et surtout remettre en état les canalisations qui fuient en sous-sol car pratiquement pas entretenues depuis des décenies ! Ne devrait-on pas réclamer à ces trusts financiers qui se sont goinfrés sur le dos de la population de financer les investissements nécessaires à l'économie et la dépollution de l'eau ?

 
À 23 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Que vient donc faire le co-développement associé à l'environnement?
S'agirait-il de trouver un moyen de plus pour priver encore l'Afrique, notamment, de son droit au développement? En la cantonnant dans son rôle d'asservissement à nos multinationales, et en se donnant bonne conscience avec le commerce [pseudo]équitable et autres micro-projets ?

Arrêtons cette attitude compassionnelle aux relents colonialistes camarades, et passons enfin aux actes concrets et d'avenir en adoptant une réelle attitude de partenariat avec ce continent, qui attend moins des aides (dont 60% reviennent dans les caisses de nos entreprises, et 20% dans les comptes en Suisse des despotes que nous soutenons) que de sa libération, c'est-à-dire de la fin des blocages que nous mettons à leurs projets de développement industriel dès que cela porterait tord à nos multinationales, qui pillent à vil prix leurs ressources pour les transformer (donc capter toute la valeur ajoutée) dans nos pays.

J’invite tous les septiques à consulter le site www.valabas.org sur lequel ils pourront voir un exemple évident de ce comportement et des espoirs qui existent en Afrique.

Salutations socialistes, européennes et mondialistes.

 
À 24 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

proposition de cours d'écologie dés l'école primaire.
Création d'un musée de l'écologie.
Campagne d'éducation grand public sur des grands thèmes écologique : ex - le pourquoi du tri sélectif,
Qu'est-ce que l'effet de serre,

faire l'université des savoirs le soir sur des thèmes écolo

Claude et Stéphane

 
À 25 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

militante socialiste depuis 1980, je suis étonnée que la campagne de Ségolène se lance à partir du site désir d'avenir...et non sur le site du Ps...Notre camarade, future présidente, ne va t elle pas être investie par le parti socialiste demain

 
À 25 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Réponse à la militante socialiste depuis 1980 : Oui : Demain !
Mais hier, le PS a-t-il, ne serait-ce que cité l’adresse de Désirs d’avenirs comme celle d’une de ses candidates potentielles ? Combien de blogs PSistes ont peaux-de-banané (pour ne pas envenimer le débat) les propos et avancements de Ségolène ? De plus, les blogs ségolénistes sont ouverts à tous, socialistes (à ± 80% tout de même, adhérents ou non) ou pas. Alors imaginons la force de l’ensemble de la structure novatrice des ségo-blogs et de celui du PS pour gagner en Avril 2007 ! Ne cherchons pas la petite bête qui divise. Ségolène a créé un magnifique outil, servons nous-en ENSEMBLE dans un seul but : gagner les élections en rassemblant à gauche et autour de ses idées pour la France qu’elle aborde en vraie socialiste, cad à l’écoute du peuple.

Venez donc nous parler de vos idées sur l’environnement et du débat avec Yves Cochet.

Un homme de gauche, socialiste, adhérent fidèle à Désirs d’avenir, toujours non encore adhérent au PS à cause de ce genre d’attitude, bien qu’ayant toujours voté utile aux 1er tours (et même en 2002).

 
À 25 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Réponse au socialiste européen et mondialiste :
Pourquoi ce dédain à l’ouverture du débat, qu’il le soit par le biais de l’écologie (humaine) ou par le biais de la politique économique ? Les deux me semblent liés et l’analyse « environnementale » trans-fonctionnelle entre les différentes fonctions gouvernementales. Le co-développement, en tout cas, me semble de mise avec un débat où intervient Yves Cochet. C’est, pour moi, l’occasion ou jamais d’en débattre sur de nouvelles bases. J’en prendrais pour preuve le problème de l’eau, purement environnemental, et qui entre pleinement dans la construction au niveau de l’état d’un co-développement qui ne soit plus néo-colonialiste mais totalement participatif, et permette à la France d’aider à cicatriser, si l’on peut dire, son rôle sous les colonisations et néo-colonisations.
Il me semble que c’est l’occasion idéale de demander à Yves Cochet de se positionner sur les positions de « valabas » ou de « survie » entre autres, non ? Il semble y avoir matière à faire des propositions pratiques dans une nouvelle conception de l’échange économique entre Afrique (entre autres, car n’oublions pas l’Amérique Latine et bien d’autres régions, chacune ayant ses particularités) et France (avec, derrière, l’Europe, pourquoi pas ?). Et pourquoi pas faire évoluer en même temps le concept de « commerce équitable », pour qu’il le soit vraiment, d’un bout à l’autre de sa chaîne ?

 
À 26 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L’un des enjeux majeurs de ce siècle, c’est d’engager au plus vite l’inéluctable révolution de nos modes de vie, de production et de consommation. C’est d’intégrer la préoccupation du changement climatique, la responsabilité écologique dans l’ensemble de nos activités économiques.

 
À 26 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L’un des enjeux majeurs de ce siècle, c’est d’engager au plus vite l’inéluctable révolution de nos modes de vie, de production et de consommation. C’est d’intégrer la préoccupation du changement climatique, la responsabilité écologique dans l’ensemble de nos activités économiques.
Jacques Chirac
Conférence à Montréal sur le changement climatique - Message de M. Jacques Chirac (7 Décembre 2005)5

 
À 27 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Que pense Yves COCHET du rapport STERN notamment quant il:
- dissocie développement soutenable et croissance
- fixe à 1% du PIB, l'aide au (co)développement (0.4 % aujourd'hui), est ce réalisable en 2007-2012 ? un engagement du prochain gouvernement de gauche ? et suffisant à long terme ?, avec quels axes et fondamentaux ?

 
À 27 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Que pense Yves COCHET des 10 objectifs et des 5 propositions de Nicolas HULOT ?
L'environnement et le co-développement ne vont pas t-il être absorbés par un nouveau cycle économique, après le new deal et les reaganomics... l'ecolonomy ?

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Il existe la Ligue des droits de l’Homme et pourquoi pas la ligue des droits de la Terre !

Imaginez des Commissariat Nationaux de l’Environnement CNE
Chapoter par un Haut Commissariat Mondial de l’Environnement HCME

Il existe les organismes internationaux suivants pour l’homme et pourquoi pas pour la Terre !
ONU : les Nations Unies
HCR : Haut Commissariat aux Réfugiés
BIT : Bureau International du Travail
CICR : la Croix Rouge
UIT : Union Internationale de la Télécommunication
OMC : Ordre Mondial du commerce
Pourquoi n’existerait-il pas un organisme international pour l’environnement fondé sur le principe de l’ONU.

HCME : le Haut Commissariat Mondial de l’Environnement
Avec en assistance des CNE : les Commissariats Nationaux de l’Environnement
La mission de ce commissariat à l’environnement est d’influencer la politique environnementale de chaque état. Assister le ministre à l'environnement. L’environnement ne peut plus être considérer comme une politique au bon vouloir de chaque état mais bien comme un fondement primordial à toute politique économique locale, régionale, nationale, continentale et mondiale.
Le HCME et les CNE auraient comme mission d’influer, de conseiller, d’alerter toutes décisions politiques présentant des risques environnementales.
- De jouer un rôle pédagogique dans le domaine de l’éducation, de l’entreprise et du particulier.
- Promouvoir et rechercher des idées pour que chaque citoyen du monde puisse jouer son rôle protecteur et veiller à ses responsabilités.
- Parrainer tout projet novateur.
- Etendre des applications locales au reste du monde.
- Dénoncer et exercer des pressions sur des décisions non-conforme à la protection de la Terre.
Le HCME serait un outil efficace (une forme de Lobby) représenté auprès de l’OMC par exemple et auprès des autres organismes internationaux pour orienter la politique mondiale.

Mr Al Gore au USA, Nicolas Hulot en France et d’autres leaders dans le reste du monde pour créer le HCME et les CNE.

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L'homme est le cancer de cette planète. Il l'exploite sans vergogne, en dépit du bon sens. C'est simple, si nous poursuivons sur notre lancée alors nos sociétés s'effondreront comme des châteaux de cartes. Il faut changer nos habitudes (consommation, déplacements, logement etc.). Il faut mesurer l'impact de chaque geste sur le "VIVANT". Les politiques doivent créer une dynamique et les français suivront. C'est une question de vie ou de mort....

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L’idée du HCME, mais surtout des CNE pour commencer, me semble enthousiasmante. Par contre, pour leur représentation, faut-il choisir le poids politique et/ou médiatique comme seul critère, comme aux débuts de l’ONU, ou faut-il allez plus directement à la maîtrise des dossiers techniques, vu leur hyper complexité ?

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Ne devrait-on pas légiférer sur les cirques et interdire leur possibilité de détenir des animaux sauvages (exiguïté des cages mauvais traitement dus au dressage, transports incessants, manque d chauffage) hors de leur contexte environnemental d'origine?
Les grands singes et les forêts primaires disparaissent. Interdisons en France la vente de bois exotiques dont on ignore la provenance. Dans dix ans il n'y a plus aucune forêt primaire, elles renferment 95% de la biodiversité. Augmentons la capacité de contrôles des administrations à ce niveau.
Essayons de développer un tourisme équitable et durable en travaillant avec des associations ou des gouvernements en leur fournissant l'aide nécessaire pour créer des emplois durables liés à la protection de la faune et de la Flore et au tourisme. Évitons le tourisme de masse dans ces lieux qui seraient privilégiés en organisant un tirage au sort de ceux qui auraient le droit de visiter.

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Il faut agir rapidement très rapidement. Donc d'abord légiférer au niveau national ou européen; ensuite se concentrer sur le mondial, des instances existent déjà elles n'ont pas imposé de changement majeur.
Au niveau national:
Pour les entreprises légiférer sur le ferroutage très très vite, cela baisserait l'émission des GES de façon conséquente.
Pour les particuliers : développer les réseaux ferrés,les rendre accessibles, baisser les tarifs SNCF; accompagner les familles qui veulent prendre le train (port de bagage,plus de place pr les bagages encombrants. Une navette qui viendrait chercher non loin du domicile).
2nde priorités : Les emballages, les vêtements (ce sont des emballages aussi) très vite il faut modifier notre façon de consommer emballer tout et réemballer comme l'on fait ce n'est pas tenable dans le cadre d'un développement durable.
Pour les textiles, utiliser des matières non polluantes et qu'elles le restent du champ à l'usine de textile. Finis les synthétiques à partir du pétrole ou du coton très gourmand en pesticide.

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Ce qu’on nomme ‘’environnement’’ est une dimension de portée générale, non pas une spécialité

Elle doit être soumise au raisonnement économique mais doit aussi être présente dans tous les raisonnements économiques

Elle doit être traitée à tous les niveaux. L’action internationale et européenne (diplomatique ou autre) en fait partie comme la plus concrète des réalisations de terrain.

Il ne faut pas enfermer sa gestion dans un ghetto administratif. Il faut sans doute des capacités d’études spécifiques mais le point d’examen,d’initiative et de décision en la matière doit être au plus près du niveau de décision le plus élevé.

Serge Barthélemy

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Une idée concernant les villes en France (venant de mes voyages dans les pays neufs surtout anglo-saxons:Nouvelle-Zélande,Australie...).Les trottoirs des rues commerçantes sont recouverts par des avancées en béton (le plus souvent)de sorte que:-les piétons peuvent flaner(lèche-vitrine)le long des devantures,quel que soit le temps,
-en temps de pluie,au lieu de prendre un bus pour quelques arrêts, les gens marchent,-les commerçants sont très heureux de ces aménagements qui amènent des clients qui ne pourraient pas s'arrêter s'ils étaient en voiture.

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Réponse à un anonyme:que vient faire le codéveloppement associé à l'environnt?
A l'évidence, le codév.doit être intégré à un projet ambitieux de développement durable défini simplement comme un développement socialement solidaire et écologiquement soutenable avec une double exigence:améliorer les conditions de vie de la population,préserver les ressources naturelles et les écosystèmes sur le long terme ce qui n'est possible qu'en associant étroitement la population aux décisions.Pour illustrer les rapports codév. et environnement un exemple intéressant, le Programme National d'Action Environnementale qui existe à Madagascar depuis le début des années 90 et mérite d'être élargi et soutenu.

 
À 28 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Gérard, de Paris:
"Réfléchir et oser", pour Paris, c'est faciliter davantage un environnement dédié:
- aux piétons,
- aux vélos et déplacements individuels silencieux (patins...)
- aux TEC (bus, tram...) de surface
sans oublier
- les voitures des résidents pour le strict accés à leur domicile, entrer et sortir de Paris.
Les livraisons doivent être réorganisées selon un étalement hebdomadaire/quotidien correspondant aux besoins réels des professionnels. Ils disposeront de plages horaires et jours précis.
Les déplacements et courses à pied et en deux roues doivent être largement encouragés et facilités par des aménagements (cf Belgique et Pays-Bas, depuis des décennies!)

L'environnement c'est aussi la qualité du silence offert aux résidents et aux touristes. La recherche d'une réduction des bruits est une mesure écologique trop peu souvent évoquée, dont les conséquences, certes difficilement chiffrables, sont évidentes en terme d'efficacité individuelle et de santé publique.

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Voici les questions que j'aurais pour Yves Cochet, dans la perspective de nous aider à définir des priorités dans nos propositions pour la Présidentielle :

- Au niveau national : Comment faire pour inciter les constructeurs automobiles à innover plus vite dans les véhicules propres ? Comment répondre aux 5 propositions de Nicolas Hulot et le convaincre de nous rejoindre ?

- Au niveau européen : Comment faire pour favoriser l'émergence de grandes entreprises énergétiques européennes ? Comment encourager la R&D commune dans les nouvelles technos énergétiques, par exemple en établissant des pôles de compétence dans certaines universités ciblées en partenariat avec de grandes entreprises ? Comment favoriser la création de nouveaux emplois dans le domaine environnement / énergie ? Comment moderniser la PAC pour encourager une agriculture plus respectueuse de l'environnement ?

- Au niveau mondial : Les Démocrates américains peuvent-ils aider les européens (ou au moins Blair et nous) à comprendre comment modifier le traité de Kyoto pour qu’il devienne acceptable pour leurs concitoyens et leurs entreprises ? Peut-on ensuite essayer de convaincre les Américains, les Chinois et les Indiens de signer un nouveau traité amélioré, disons Kyoto II ? De quelle façon pourrait-on lancer un plan international pour la protection des forets primaires (et la réduction induite des GES) ?

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Je suis tout à fait d'accord pour l'encouragement de l'indépendance énergénique des ménages. Je pense que cela devrait passer par des solutions financières aideraient les volontés à se définir. Pourquoi ne pas diminuer la taxe d'habitation pour les personnes recuillant l'eau de pluie, les panneaux solaires...

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Je suis tout à fait d'accord pour l'encouragement de l'indépendance énergétique des ménages. Je pense que cela devrait passer par des solutions financières qui aideraient les volontés à se définir. Pourquoi ne pas diminuer la taxe d'habitation pour les personnes recuillant l'eau de pluie ou utilisant les panneaux solaires...
De plus, il faudrait arreter l'hypocrisie qui concerne à nous faire croire que les gouvernements veulent agir pour l'environnement, mais qui d'un autre coté font passer les intérêts financiers avant tout. Arretons d'exploiter les pays sous développés et aidons les à se développer au travers de ressources énergétiques non poluantes.
Le tri des déchêts est très important. Cependant, la taxe qui accompagne ce tri et la difficulté de compréhension (les informations ne sont pas toujours claires pour tout le monde) sont parfois trop d'obstacle et découragent les novices. Je prend pour exemple ma commune, où la taxe a augmentée à cause d'erreurs de tri. Je pense que la politique de nombreux habitants sera de dire, comme cela nous coute cher, alors, mieux vaut mettre dans les poubelles sans tri, que de trier...
Enfin, il faut éduquer nos enfants. Leurs apprendre à vivre autrement et à considérer notre terre non pas comme quelque chose qui nous appartient, mais bien, comme un don qu'il faut protéger. Eduquons aussi les adultes, les illétrés. Je pense que c'est un combat citoyen. Créons des associations pour l'apprentissage de la lecture.
Aidez nous à créer de bonnes volontés, et à changer les choses.

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L'environnement est un domaine où se manifeste depuis longtemps la puissance de l'expertise citoyenne en face de la frilosité clientéliste des élus :comment aurions-nous connu les réelles conséquences de Tchernobyl en France s'il ny avait pas eu une modeste prof de bio pour créer la CRIRARD ? qui aujourd'hui affronte le lobby nucléaire d' EDF dirigés par des X MINES sinon des particuliers qui suivent un parcours du combattant pour installer chez eux des panneaux photovoltaïques ou des éoliennes qui apporteront à chaque unité d'habitation son autonomie énergétique ? De là une première revendication :changer la culture et les ressources de l'Ademe pour qu'elle soit au service du développement des énergies renouvelables .
Dans toute nouvelle construction ou rénovation et d'abord dans celles qui sont ordonnées et financées par les collectivités locales et l' Etatimposer le recours aux matériaux améliorant l'isolation et la viabilisation par les énergies renouvelables . L'objectif ,certes à long terme , mais pas trop éloigné cependant (20 ans ) doit être d'éradiquer totalement le recours à des énergies fossiles et aux centrales thermiques et nucléaires .
La présidence française de l'Europe ,soutenue par le poids diplomatique de la France dans le monde et la place des eurodépputés socialistes et verts français pour faire des enjeux environnementaux la priorité européenne:-faire enfin aboutir la directive REACH
-inclure le transport aérien dans le marché des ddroits d'émission de CO2
-promouvoir le ferroutage et le transport fluvial par des moteurs "propres"
Entraîner le reste de l' Europe en donnant nous-même des preuves:
-renforcer la loi "littoral" en empêchant promoteurs immobiliers et roitelets locaux de la contourner
-réécrire la loi sur l'eau
-rompre définitivement avec l'agriculture intensive productiviste qui affame les populations des pays émergents ,ruine les paysages français et permettre à nouveau la fabrication et l'utilisation du purin d'orties et d'autres produits semblables
-mettre en oeuvre sérieusement le parc naturel de Guyane et donner les moyens aux élus locaux et aux fonctionnaires de l'Etat d'en faire un modèle pour les autres paysayant des forêts de ce type à gérer
-trouver de nouveaèux moyens d'aider les pêcheurs pour adopter et respecter des quotas de pêche en eau profonde correspondant aux nécessités élaborées par les scientifiques et non déterminés par de calculs électoralistes
De façon générale il est plus qu'urgent d'élaborer un plan Climat qui entre autres de instruire la population sur des sujets qui peuvent paraître triviaux comme :il faut apprendre à ne consommer que des fruits et légumes de saison sous nos latitudes , ou il est aberrant de gaspiller tant d'eau à arroser du gazon alors qu'existent des couvre-sols adaptés aux conditions de vie des terres françaises . En résumé des milliers de petits gestes de chaque Européen feront autant que des lois contralgnantes pour cesser de se livrer à une consommation excessive de ressources naturelles non renouvelables !

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Pour répondre aux interrogations de certains, il existe une ONG "La croix verte internationale" fondée en 1995 au " Sommet de la Terre à Rio à l'initiative de l'ONU consacrée à la défense de l'environnement. présidée par Mikhail Gorbatchev cette ONG a synthétisé sa philosophie dans une Charte de la Terre. Cette charte fournit des principes fondamentaux qui peuvent servir de guide universel pour les peuples et les Nations vers un avenir durable.
Il serait essentiel de la connaître et de s'y referer.

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Les yaourts, toutes marques confondues, sont devenus des desserts très sophistiqués (d’où leur prix). Leurs fabricants essaient de nous persuader qu’ils sont d’autant plus « naturels » qu’ils sont moins « nature ». « Ecolos-rigolos », ils donnent la « vache à boire » et marient des fruits « très sauvages » aux légumes : « mangues et citrouille » ou « ananas et fenouil ». [L’Express, 26.X.06]
Conclusion très paysagère et personnelle : le secret de la ligne et de la santé est dans le potager. Il serait plus judicieux si l’on veut faire des économies (d’énergie entre autres) de faire ses potages soi-même ainsi que ses yaourts auxquels on pourra mélanger fruits, macarons, confitures et tout ce qu’on voudra pour éduquer le goût de nos chers petits et aiguiser leur créativité autant que leur appétit. Et réclamer sur les étiquettes, à côté de la valeur énergétique, la véritable consommation en énergie qu’impliquent le transport de tous les ingrédients qui composent les plats cuisinés, leur fabrication,leur conservation et leur conditionnement. Ce dernier aspect est capital quand on sait ce que coûte en énergie et en nuisances diverses le traitement des déchets. On pourrait même aller plus loin et noter que la sémantique établit une corrélation entre les diverses « énergies » concernées par l’industrie alimentaire. Les repas hypercaloriques ont ainsi l’avantage de compenser l’hypothermie et de donner l’énergie nécessaire à la plupart des activités humaines… Pour lutter contre le froid, adoptez le régime esquimau. Pour lutter contre l’obésité, au lieu de rester avachi devant votre poste de T.V. ou accro à internet, cultivez votre jardin et plantez des choux très énergétiques…
F. Chenet, Horizon Paysage

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Bonjour à tous,
J'habite Pontault (77) et je travaille à Orly (94). Il me faut de 45 à 60 minutes pour aller travailler en voiture et 2 heures en transport en commun (aller).
J'aimerais laisser ma voiture au garage mais vous voyez le temps gagné.
Si on pouvait ameliorer le transport de banlieue à banlieue, il y aurait moins de voiture sur la route en région parisienne.
J'aimerais ajouter que la grande couronne est mise à l'écart car les services de bus sont très pauvres même en heures de pointe. Beaucoup de gens vont en voiture jusqu'à leur gare.
Donnez-nous les moyens et nous prendrons les tranports ! Moins de voiture, moins de pollution !

Merci MME ROYAL.

 
À 29 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Pourquoi tous les bus dans paris ne roulent pas à l’électricité ? Pourquoi ne mise-t’on pas à fond sur les transports en commun et ne développe-t-on pas les taxis collectifs ? Pourquoi ne crée-t-on pas des parkings surveillés à la périphérie des villes aux lieux où sont les stations RER ? Pourquoi ne crée t-on pas des files prioritaires pour les voitures occupées par plusieurs conducteurs pour limiter l’utilisation des véhicules (co-voiturage) ? Pourquoi les entreprises de mettent-elles pas en place un plan co-voiturage ? Pourquoi le deux roues est banni à Paris (PV de stationnement alors que les places sont insuffisantes) ?

 
À 30 novembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

4 remarques après le débat du 28/9
1. Ne pas se reposer sur l'enchérissement actuel du prix du pétrole pour la lutte contre le changement climatique.
On ne peut en effet isoler le pétrole des autres énergies fossiles et particulièrement du charbon car l'on peut produire des carburants et combustibles liquides liquides à partir du charbon qui est très abondant dès que le prix du pétrole dépasse durablement les 50 dollars.
Le prix du baril de pétrole ne devrait donc pas s'installer durablement à un niveau plus élevé sur le long terme. On observe d'ores et déjà une forte hausse de la production charbonnière dans le monde.
Au regard de la lutte contre l'effet de serre qui impliquera une réduction très forte de la consommation d'énergie fossile, il ne faut donc pas se tromper : le monde dispose actuellement d'une surabondance d'énergie fossile.
La lutte contre l'effet de serre est donc la priorité des priorités et la question de la pénurie n'est donc vraiment pas à l'ordre du jour.
Dans le même ordre d'idée, ne pas oublier que l' indépendance énergétique, à la différence de la sécurité d'approvisionnement, ce qui n'est pas la même chose, ne saurait être un objectif prioritaire.
En conclusion, tout doit être réglé prioritairement aujourd'hui sur la lutte contre l'effet de serre.
2. Il ne faut pas s'illusionner, cette lutte va coûter cher en dépenses publiques et privées supplémentaires sans pour autant que l'effort ne soit pas à la mesure de la nation si elle veut s'y attacher. Le chiffrage a été fait et une étude sortira prochainement à ce sujet : il est pour ce qui nous concerne voisin de 1% du PIB par an si nous retroussons nos manches sans tarder.
Il est donc important que le prochain gouvernement soit conscient d'une nécessaire ponction supplémentaire et prioritaire non négligeable sur les finances publiques, ponction aujourd'hui non prise en compte par les programmes électoraux. Donner à croire que la question se résolvera essentiellement par des petits gestes d'une population attentive, est une illusion.
3. trouver un accord international à la mesure de la menace pour l'après Kyoto est plus que problématique aujourd'hui. Si bien que la vraie question est de savoir si nous, français, devons engager cet effort sans attendre un hypothétique accord. Il ya de bons arguments de penser que cela est judicieux même si en soi une réduction importante des émissions françaises de carbone ne change pas sensiblement la donne du problème mondial.
4. Enfin quand on parle des centaines de milliers d'emplois que créera chez nous l'engagement de cette lutte, il faut éviter l'erreur presque toujours faite dans les discours qui tend à faire croire qu'il s'agirait de création nette d'emplois pour le pays. En réalité, que ces emplois résultent de la réglementation ou d'incitations, ils ne feront pour l'essentiel que déplacer des emplois existants avec un effet global sur l'emploi quasi-nul voire même négatif à la marge.
Gerardparis16

 
À 01 décembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Nicolas Hulot a lancer le pacte écologique, idée qui me semble intéressante si on ne veut pas que nos enfants et arrières petits enfants vivent sur une planète ou l'équilibre écologique se veut de plus en plus menançant.
La terre est aussi notre héritage que nous leur laisserons, ne laissons pas un dépotoir ou une planète ou il fait mal vivre.
Une question très simple: Mme Royal allez-vous signer le pacte écologique et vous engagez fermement afin que les choses bouges? Pas de langue de bois s'il vousplait, il est grand temps d'agir.

 
À 07 décembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

Je me méfie de Nicolas Hulot, grand copain de Jacques Chirac entre autres et qui est en train de diviser un peu plus gauche et droite autour d'un appel hyper-médiatique, mais qui n'apporte rien de vraiment neuf aux questions écologiques telles que déjà évoquées par Ségolène ou même par Dominique Voynet et les Verts ! Je ne doute pas non plus du rassemblement de l'UMP à la dernière minute autour d'un seul candidat. Restera une gauche largement divisée et tout aussi facilement éliminable dès le premier tour !

 
À 07 décembre, 2006 , Anonymous Anonyme a dit...

L'INVESTISSEMENT DURABLE ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE
L'affaire Forgeart qui a tant frappé les esprits est un exemple, parmi beaucoup d'autres moins visibles, de l'état de délabrement dans lequel est tombé « l'esprit du capitalisme ». L'entreprise Airbus, fleuron de l'industrie européenne, est au bord d'être ruinée par l'incurie qui résulte de la financiarisation imposant ses critères d'investissements non-durables aux entreprises industrielles. On a parlé de « patron voyou », mais le comportement de Noël Forgeart, aujourd'hui poursuivi en justice, est tout à fait conforme aux modes de fonctionnement imposés par la financiarisation du capitalisme dans le monde entier.
Ce fonctionnement, auquel sont aujourd'hui soumises la plupart des grandes entreprises industrielles - quand elles ne sont pas dépecées par les LBO - , est désastreux, et il n'est pas « durable » : il détruit l'industrie, et avec elle, le monde dans lequel nous vivons. Dans un tel contexte, les politiques de développement durable apparaissent de plus en plus constituer des alibis pour dissimuler la situation d'incurie créée par la financiarisation, et pour ne rien y changer. La financiarisation, c'est en effet ce qui, à la différence du capitalisme industriel, consiste par principe à ne s'engager que dans des investissements non-durables.
Or, au moment où la transformation de la vie par le développement technologique nécessite plus que jamais que les puissances publics et privées prennent soin du présent et de l'avenir - et par la mise en place de dispositifs d'investissements durables et strictement réglementés.
La question de l'environnement dans lequel nous vivons et dans lequel nous-mêmes et les générations futures vivront est celle de l'investissement sous toutes ses formes, individuel, public et privé. Il faut repenser ces formes pour mettre en ouvre une politique au service de développements à long terme dans un contexte où les microtechnologies numériques, les biotechnologies et les nanotechnologies, que l'on dit également « transformationnelles », sont appelées à bouleverser les modes de vie et leurs bases physiques, biologiques et sociales à un point jusque alors inconcevable.
Le silence des candidats à la présidence de la République sur ces questions est consternant - et en les abordant, nous entendons contribuer à faire émerger un débat autour de ce qui devrait devenir une politique européenne des investissements durables, sur un continent qui est encore le plus riche du monde, formant le plus vaste marché du monde, et attirant les investisseurs de tous les autres continents.
La suite par Ars Industrialis au :
Théâtre National de La Colline
15 rue Malte Brun, Paris 20° (métro Gambetta)
samedi 16 décembre 2006 à 14 heures
entrée libre

 
À 25 novembre, 2009 , Anonymous Anonyme a dit...

beaucoup appris

 

Enregistrer un commentaire

Abonnement Publier les commentaires [Atom]

<< Accueil